MA SM 1970. Première remise en état en 1994.
Je ne pensais pas posséder si rapidement une SM. En 1995, alors que je débutais dans le monde Citroën, je me suis porté acquéreur de cette Citroën SM. Vue dans les annonces de Citroën-revue (aujourd’hui défunte), il y avait une SM à échanger contre une DS. Le plus drôle c’est que l’affaire était à réaliser en Suisse, à Monthey (VALAIS), 40 kilomètres de mon domicile. Coup de téléphone, la personne désire une DSUPER, en bon état. Je me plie en 4 pour finalement lui dégotter une DS 19 de 1963, boite mécanique. Je me rends jusqu’à Narbonne pour acquérir cette DS. L’ échange fut rapidement fait. Ironie du sort j’ai retrouvé quelques années plus tard cette DS de 1963 chez quelqu’un qui est devenu un véritable ami, je lui est même restauré sa DS. Le nec plus ultra c’est que cette SM possède un toit ouvrant électrique, si bien réalisé qu’on ne peut que jurer que c’est un montage d’origine. En vérité il s’agit d’une transformation dans les ateliers CHAPRON, LE carrossier par excellence. A force de critiquer la SM et son moteur peu fiable, je me décide à le refaire sans même essayer l’auto. Comme elle était déjà partiellement démontée, je me mis à l’ouvrage immédiatement après acquisition. A préciser la SM est très saine, et accuse 120306 kms.
J’étais relativement inconscient, car ne connaissant pas grand chose à la mécanique, je me lançais dans cette restauration, avec l’aide d’un ami qui lui, connaissait bien les moteurs.
Ceci est ma première restauration de voiture, en 1995, du haut de mes 24 ans, et sans aucune expérience. Je ne connaissais même pas le procédé de zinguerie de la visserie. J’avais tout brossé au tour pour redonner un brillant aux tuyaux et visserie. Ce qui a par la suite allègrement bien rouillé.
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