Fév 07

RESTAURATION INTEGRALE MEHARI 1974 DE YAN 05.

Une bonne semaine de travail sur la Méhari qui resemble enfin à une Méhari. Un grand merci à Peter qui connait les Méhari par cœur, et qui m’a corrigé des erreurs que j’ai commises, pour rester le plus proche possible de l’authenticité. Même si la couleur ne fut pas proposée par Citroën à l’époque, elle lui va à merveille, et teintée dans la masse.

A présent, connexion du nécessaire pour que la Méhari puisse se conduire. Le Neiman crie famine, un plot est cassé, une pièce que l’on trouve en neuf que je doit commander. Le faisceau électrique de première qualité est arrivé, et il m’a fallut une longue journée pour tout connecter et que tout fonctionne. Mais il est nettement meilleur et surtout parfaitement conforme que ceux proposé par certains spécialistes Méhari.

Côté carrosserie, c’est le cauchemar sur la Méhari, tout se monte presque à l’aveugle, on a pas le droit à l’erreur. Heureusement que j’ai conservé l’ancienne carrosserie, ce qui m’a permit de mesurer tous les trous à faire pour les portes notamment. En tous cas, ce n’est vraiment pas facile la pose d’une carrosserie neuve de Méhari. Il faut travailler avec délicatesse et méthode. Mais on est bien content lorsque cela prends place.

Remise en route du moteur et un bruit de butée d’embrayage se fait entendre. J’ai commis une erreur en me trompant de butée, l’embrayage qu’il y avait sur le Méhari était quasi neuf, j’en ai mis un autre neuf par acquis de conscience et me suis emmêlé sur la butée. Moralité, dépose du moteur et changement de la butée. Une heure trente montre en main, vive la Méhari, c’est presque une formalité pour cela.

A présent, j’ai fait le tour de l’auto, et la liste de pièces a finir de commander est faite, la Méhari pourra être terminée une fois la commande reçue. J’adore cette couleur, au moins on en voit moins souvent, et Yan qui reçois mes photos se voit déjà au volant de sa Méhari toute neuve.

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